Assise sur le quai ...

Nombre de messages : 80 Date d'inscription : 31/12/2005

Charlie était assise sur un banc,il commencée doucement a faire nuit dehors.
Elle s’était dis qu’elle passerais sûrement la nuit sur ce banc,le métro était l’un des seuls endroits où il faisait un peu près chaud et où il ne fallait pas payer. Elle avait les mains glacées,elle les plaça donc dans son long manteau. Sa jupe ne couvrait sa peau que jusqu’aux genoux se qui n’arrangée pas sa sensation de froid. Elle était là a regardée les gens passés devant elle

Nombre de messages : 49 Date d'inscription : 02/01/2006

Bob qui souhaitait rentrer chez lui se devait de prendre le métro car sa voiture était en réparation. Le moral plutot joyeux car après avoir fait plusieur essais afin d'acheter une basse, cela lui rappela d'anciens souvenirs de Jamaïque. En longeant le quai, il apperçu de loin une forme fine et tremblante recroquevillée sur un banc. Bob avait la certitude que cette personne ne pouvait être qu'une femme.
Plus il avançait, et plus il remarquait les tremblements incessants et la blancheur de son visage qui était gelé.
Il passa devant en se répétant sans cesse ce que ses anciens amis du pays natal lui disaient "Surtout n'oublis pas Bob, a New York tout peut arriver".
Puis quelques pas plus loin de la jeune femme, Bob se sentait gêné moralement car il avait beaucoup de respect envers les femmes. Il s'arreta et envouté par la pitié qu'il éprouvait pour cette femme alla la rejoindre.

Bob posa son manteau délicatement sur les épaules de la demoiselle et lui prononça calmement ces quelques mots :

-"Laissez moi vous conduire à un hotel, les nuits sont plus dangereuse que froide à New York. Je peux vous offrir une nuit a l'hotel non loin d'ici. Ne vous inquiétez pas, je vous accompagne et vous n'entendrez plus parler de moi. C'est tellement mal de voir le froid s'emparer d'un visage aussi charmant."

Nombre de messages : 80 Date d'inscription : 31/12/2005

Charlie leva doucement le regard vers cette homme qui venait de lui parlée,elle le regarda quelques instants comme si elle était toujours longée des ses pensées .Elle fut surprise par ses paroles,elle était là depuis 2 heures et personnes ne l’avait regardée ou encore moins parlée.
Elle trouva ça aimable et mais très intriguant. Elle lui parla doucement en esquissant un mine sourire

« Merci … mais je commence a m’y habituée ! Il ne fait finalement pas si froid que ça … »

Nombre de messages : 49 Date d'inscription : 02/01/2006

Voyant la méfiance dans son regard, Bob semblait vouloir insister sur le fait de dormir au chaud. Il la regarda dans les yeux d'un air amical et lui dit :

-"Vous êtes vraiment sur de vouloir passer la soirée sur ce quai où règne toutes ces odeurs désagréables et ce vicieu vent frais ?"

Il lui tend généreusement son écharpe en lui adressant ces mots :

-"Tenez ! Vous auriez au moins sa pour vour tenir plus chaud."

Il comptait rester assis à coté d'elle jusqu'a l'arrivée de son metro.

Nombre de messages : 80 Date d'inscription : 31/12/2005

Elle pris simplement l'écharpe qu'il tendait,après quelques instants elle l'enroula autour de son cou.Sans rien dire elle ficée devant elle,elle ficée le vide,plongée dans ses pensées.Elle ne sait pourquoi cet homme était venue la voir,lui avait proposée un chambre d'hotel ... Mais tout cela lui était finalement égal,le plus important c'est qu'il l'avait fait simplement

Nombre de messages : 49 Date d'inscription : 02/01/2006

Bob ne voulait pas forcer les choses, ce n'est pas son caractère. Mais il avait toutefois une pensée pour la froide nuit de la jeune femme allait passée.
(le bruit du metro retentit)
Voyant qu'il ne pouvait faire quelque chose de plus, Bob inscrit sur un petit morceau de prospectus son numéro de téléphone et annonça :

-"Vous pouvez garder mon écharpe, ce don en vaut pour moi la peine. Si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas à m'appeler"

Il lui place le morceau de papier devant et fini par lui dire :

-"Aurevoir et j'espère ne plus jamais vous revoir dans ces conditions."

Bob partit calmement dans le metro. Il ne savais pas qui était cette femme, ni quelles étaient ses raisons, ni pourquoi a-t-elle acceptée cette écharpe ... Mais tout cela lui était finalement égal, le plus important c'est qu'elle l'avait fait, simplement.

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